Nom, prénom, surnom Spectre errant se faisant appeler Song Eros, dorénavant.
Âge, date de naissance 28 novembre 1997, soufflant bientôt le désordre de ses années boursoufflées.
Nationalité Les pupilles dansantes tantôt vers les décors Séoulites (( naissance )) tantôt vers ceux de l’Australie. Avant que le pied ne se pose définitivement sur le sol de Corée du Sud, sans le vouloir.
Métier/Études Graphiste Maquettiste, notamment pour les pochettes d'album et autres dans les agences de divertissement & Pompier volontaire.
Classe sociale Le manque de prétention, puisqu'il n'y a rien de plus et pourtant davantage qu'il n'espérait.
Orientation sexuelle L'ivresse des joues rosies, cherchant le battant qui s'exulte, loin des envies passagères qui ne lui convient pas.
Statut matrimonial La solitude creusant ses reins, mais sans être volontaire. La simple difficulté à cause de ses pensées désordonnée et cette crainte au fond du coeur.
Famille En compagnie de sa mère fracturée et de son jeune frère tout aussi déboussolé. Ensemble, unis, loin du danger, loin de tout.
Groupe Lemon
Âge, date de naissance 28 novembre 1997, soufflant bientôt le désordre de ses années boursoufflées.
Nationalité Les pupilles dansantes tantôt vers les décors Séoulites (( naissance )) tantôt vers ceux de l’Australie. Avant que le pied ne se pose définitivement sur le sol de Corée du Sud, sans le vouloir.
Métier/Études Graphiste Maquettiste, notamment pour les pochettes d'album et autres dans les agences de divertissement & Pompier volontaire.
Classe sociale Le manque de prétention, puisqu'il n'y a rien de plus et pourtant davantage qu'il n'espérait.
Orientation sexuelle L'ivresse des joues rosies, cherchant le battant qui s'exulte, loin des envies passagères qui ne lui convient pas.
Statut matrimonial La solitude creusant ses reins, mais sans être volontaire. La simple difficulté à cause de ses pensées désordonnée et cette crainte au fond du coeur.
Famille En compagnie de sa mère fracturée et de son jeune frère tout aussi déboussolé. Ensemble, unis, loin du danger, loin de tout.
Groupe Lemon
Anecdotes, particularités: X
r u n.
Histoire
S’allonger dans le silence après les cris. Lever les paupières, les perles salées roulant encore sur les joues inondées. Espérant entendre les sirènes qui ne viendront jamais, attendant un signe. De Dieu, des policiers, d’un voisin, de quelqu’un. Des signes qu’il est encore en vie, malgré les apparents bleus, malgré les cassures, malgré les hurlements, malgré les pleurs. Pour que tout cesse d’être aussi douloureux ? Se sentir si inutile, devant la mère adorée, coincer contre le meuble et sa stature. Et lui, si petit, boursoufflée sur le corps et dans le cœur, à la recherche d’une force pour l’élever et affronter le colosse qui n’entend rien. Et ce schéma qui se répète à s’en faire mal. Ce tout et ce rien qui parsème sa vie, le massacre, l’accable lorsqu’il traine des pieds auprès des regards qui ne s’en accommodent pas. De ce tableau si beau, alors que lui sait. Et certains le savent aussi : de ces peintures violacées sur ses bras et à son dos, sur ses jambes ou sur les côtes. Et ne pas s’en sortir. Y a-t-il une échappatoire à ces Enfers ?
Un coup. Et un autre.
Si fort, tombant sur le bord du chemin. Pas tout à fait comme tout le monde. Sans savoir si ce cycle pendra fin. Rien n’y fait quand il se défend : sa chambre est détruite, ses dessins réduits à néant. Rien n’y fait quand il défend sa mère : l’un comme l’autre, les deux sont usés jusqu’à l’épuisement. Rien n’y fait quand les excuses sont lacérées par les cris et les fracas. Rien. Se détester. Le détester. Se détester. Y a-t-il quelque chose qu’il n’a pas compris ? Qu’il n’ait pas bien fait ? Que peut-il dire ? Que peut-il faire ? Comment faire battre ce cœur qui s’épuise à chaque coup reçu ? Comment de nouveau croire lorsque le mal est sous la surface ? L’esprit si inefficace, comme le corps qui ne le supporte pas. Alors que le jeune garçon ne saisit pas : c’est qu’il en fait déjà bien assez. Il ne peut que pleurer, essayer de trouver un moment pour s’échapper. Subir encore quelques jours, quelques mois, quelques années.
Parce que l’aide ne viendra pas. Il est si fort et lui pas. Les autres sont si forts pour faire semblant de ne rien voir, pour ne pas prendre parti, pour dire que tout va bien, que ce n’est pas grand-chose. Sans jamais s’en persuader, puisqu'il sait au fond de lui que c’est impossible. Il ne sert à rien de le crier sur tous les toits, pas quand une partie adulte demande de subir encore un peu. Alors, il faut bien. Encore un peu. Oui. Mais jusqu’à quand exactement ? Les cicatrices sont encore ouvertes, les plaies sont béantes. Mais il faut tenir encore un peu. Il a construit sa foi pour son amour envers sa mère, qui le protège. Mais parfois, c’est difficile. La voix se casse et le corps se recroqueville.
Jusqu’au bon moment. De dire au revoir.
Jusqu’aux jours où ils ont pu partir. Loin des autres, cela n’a plus d’importance. Ils marchent à travers le feu et sous la pluie, ils traversent le pays. Ils s’échappent à en perdre haleine. Il y a une tempête à affronter, avant de trouver une nouvelle issue. Une autre qui leur ouvrira les bras, où ils pourront enfin tomber pour se reposer. Et de rencontrer les policiers et d’expliquer ce qu’il s’est passé. D’être écouté, d’être aidé, d’être compris. D’être épaulé, d’être soulagé, de pouvoirs pleurer de bonheur. Plus d’illusions qui se voilent. T’entendre tous ces mots qu’il avait tant besoin depuis si longtemps. Y aller petit à petit, en adoptant à un nouveau nom : celui d’un jeune venant de perdre ses parents. L’opportunité de tout effacé et de retracer une nouvelle lignée. D’y aller petit à petit, jusqu’à ce qu’il ne reste plus une trace de leur passé. Seront-ils mieux maintenant ? Il l’espère. Il y croit. Il y arrive doucement. Enfin des mots pour défaire ce qui est cassé. Dédire des mots imaginés. Trouvez l'espoir dans les désespérés.
Loin de lui.
Loin de tout.
Une seconde Chance.
Qu’il prend le cœur plus léger.
Il y a parfois le contrecoup, aujourd'hui. Il ne cherche pas quelqu'un avec des superpouvoirs. Il ne cherche pas le bonheur comme les contes de fées. Juste quelque chose vers lequel je peux se tourner : un dessin ou une danse, un sourire ou la lune à son plus beau levé. Un costume un peu déchiré, un fou-rire sur des jeux éclatés. Un peu de douceur comme il est, loin du brouhaha festif et enragé. Cela n'est pas le genre de personne à qui ça correspond, mais il cherche quelque chose vers lequel il peut se tourner. Il cherche quelqu'un qui peut lui manquer, quelqu'un à aimer. Quelque chose comme cela. Aussi simple que cela.
/ ! \ abus conjugales / abus sur mineurs / abus physiques & psychologiques
S’allonger dans le silence après les cris. Lever les paupières, les perles salées roulant encore sur les joues inondées. Espérant entendre les sirènes qui ne viendront jamais, attendant un signe. De Dieu, des policiers, d’un voisin, de quelqu’un. Des signes qu’il est encore en vie, malgré les apparents bleus, malgré les cassures, malgré les hurlements, malgré les pleurs. Pour que tout cesse d’être aussi douloureux ? Se sentir si inutile, devant la mère adorée, coincer contre le meuble et sa stature. Et lui, si petit, boursoufflée sur le corps et dans le cœur, à la recherche d’une force pour l’élever et affronter le colosse qui n’entend rien. Et ce schéma qui se répète à s’en faire mal. Ce tout et ce rien qui parsème sa vie, le massacre, l’accable lorsqu’il traine des pieds auprès des regards qui ne s’en accommodent pas. De ce tableau si beau, alors que lui sait. Et certains le savent aussi : de ces peintures violacées sur ses bras et à son dos, sur ses jambes ou sur les côtes. Et ne pas s’en sortir. Y a-t-il une échappatoire à ces Enfers ?
Un coup. Et un autre.
Si fort, tombant sur le bord du chemin. Pas tout à fait comme tout le monde. Sans savoir si ce cycle pendra fin. Rien n’y fait quand il se défend : sa chambre est détruite, ses dessins réduits à néant. Rien n’y fait quand il défend sa mère : l’un comme l’autre, les deux sont usés jusqu’à l’épuisement. Rien n’y fait quand les excuses sont lacérées par les cris et les fracas. Rien. Se détester. Le détester. Se détester. Y a-t-il quelque chose qu’il n’a pas compris ? Qu’il n’ait pas bien fait ? Que peut-il dire ? Que peut-il faire ? Comment faire battre ce cœur qui s’épuise à chaque coup reçu ? Comment de nouveau croire lorsque le mal est sous la surface ? L’esprit si inefficace, comme le corps qui ne le supporte pas. Alors que le jeune garçon ne saisit pas : c’est qu’il en fait déjà bien assez. Il ne peut que pleurer, essayer de trouver un moment pour s’échapper. Subir encore quelques jours, quelques mois, quelques années.
Parce que l’aide ne viendra pas. Il est si fort et lui pas. Les autres sont si forts pour faire semblant de ne rien voir, pour ne pas prendre parti, pour dire que tout va bien, que ce n’est pas grand-chose. Sans jamais s’en persuader, puisqu'il sait au fond de lui que c’est impossible. Il ne sert à rien de le crier sur tous les toits, pas quand une partie adulte demande de subir encore un peu. Alors, il faut bien. Encore un peu. Oui. Mais jusqu’à quand exactement ? Les cicatrices sont encore ouvertes, les plaies sont béantes. Mais il faut tenir encore un peu. Il a construit sa foi pour son amour envers sa mère, qui le protège. Mais parfois, c’est difficile. La voix se casse et le corps se recroqueville.
Jusqu’au bon moment. De dire au revoir.
Jusqu’aux jours où ils ont pu partir. Loin des autres, cela n’a plus d’importance. Ils marchent à travers le feu et sous la pluie, ils traversent le pays. Ils s’échappent à en perdre haleine. Il y a une tempête à affronter, avant de trouver une nouvelle issue. Une autre qui leur ouvrira les bras, où ils pourront enfin tomber pour se reposer. Et de rencontrer les policiers et d’expliquer ce qu’il s’est passé. D’être écouté, d’être aidé, d’être compris. D’être épaulé, d’être soulagé, de pouvoirs pleurer de bonheur. Plus d’illusions qui se voilent. T’entendre tous ces mots qu’il avait tant besoin depuis si longtemps. Y aller petit à petit, en adoptant à un nouveau nom : celui d’un jeune venant de perdre ses parents. L’opportunité de tout effacé et de retracer une nouvelle lignée. D’y aller petit à petit, jusqu’à ce qu’il ne reste plus une trace de leur passé. Seront-ils mieux maintenant ? Il l’espère. Il y croit. Il y arrive doucement. Enfin des mots pour défaire ce qui est cassé. Dédire des mots imaginés. Trouvez l'espoir dans les désespérés.
Loin de lui.
Loin de tout.
Une seconde Chance.
Qu’il prend le cœur plus léger.
Il y a parfois le contrecoup, aujourd'hui. Il ne cherche pas quelqu'un avec des superpouvoirs. Il ne cherche pas le bonheur comme les contes de fées. Juste quelque chose vers lequel je peux se tourner : un dessin ou une danse, un sourire ou la lune à son plus beau levé. Un costume un peu déchiré, un fou-rire sur des jeux éclatés. Un peu de douceur comme il est, loin du brouhaha festif et enragé. Cela n'est pas le genre de personne à qui ça correspond, mais il cherche quelque chose vers lequel il peut se tourner. Il cherche quelqu'un qui peut lui manquer, quelqu'un à aimer. Quelque chose comme cela. Aussi simple que cela.
Caractere
Le calme malgré les tempêtes, mais le refuge vers le silence. Les oreilles couvertes par les paumes pour ne pas entendre les cris, les fracas trop bruyants. La réceptivité et l'adaptation pour conduire à un conformisme presque évident : comme s'il avait peur des répercussions. L'intuition artistique qui ébranle les plus frileux, tout en rejetant les plus à même de colporter les dangers : trop d'anxiété, trop de craintes que le brouhaha recommence.
Le manque de confiance envers ses propres envies, mais surtout envers les autres. Les faciès sont si peu révélateurs de ce qu'il peut se montrer en réalité. Tout est esquissé pour embellir sa vie, ne rien montrer aux autres et cela le rend d'autant plus fébrile auprès des autres : qui sont-ils réellement ? Peu impressionnable, la constance sans être totalement paradoxal. Et le besoin, sous ses créations, de se réfugier dans un monde plus souple, là où la tendresse dépeint sur les traits. Pourtant, loyal et fidèle, Eros à du mal à s'attacher par peur d'être à nouveau blessé.
The Fear of [xx]
calme ༺ réceptivité ** intuition :: manque de confiance ✧ indécision ;; désordre émotionnel ✧ culpabilité,insécurité, c’est la fuite de la réalité pour se réfugier dans un monde plus doux, silencieux ° loyal & fidèle
calme ༺ réceptivité ** intuition :: manque de confiance ✧ indécision ;; désordre émotionnel ✧ culpabilité,
Le calme malgré les tempêtes, mais le refuge vers le silence. Les oreilles couvertes par les paumes pour ne pas entendre les cris, les fracas trop bruyants. La réceptivité et l'adaptation pour conduire à un conformisme presque évident : comme s'il avait peur des répercussions. L'intuition artistique qui ébranle les plus frileux, tout en rejetant les plus à même de colporter les dangers : trop d'anxiété, trop de craintes que le brouhaha recommence.
Le manque de confiance envers ses propres envies, mais surtout envers les autres. Les faciès sont si peu révélateurs de ce qu'il peut se montrer en réalité. Tout est esquissé pour embellir sa vie, ne rien montrer aux autres et cela le rend d'autant plus fébrile auprès des autres : qui sont-ils réellement ? Peu impressionnable, la constance sans être totalement paradoxal. Et le besoin, sous ses créations, de se réfugier dans un monde plus souple, là où la tendresse dépeint sur les traits. Pourtant, loyal et fidèle, Eros à du mal à s'attacher par peur d'être à nouveau blessé.
b.yoshi
Histoire tristoune, j'essaie de faire tout ça rapidos. Et y'a pas de nom de famille, mais le prénom autour de l'amûr
Histoire tristoune, j'essaie de faire tout ça rapidos. Et y'a pas de nom de famille, mais le prénom autour de l'amûr
Bangchan, skz